[...] Le texte de Fabienne Périneau est beau et fort : phrases en suspens, tournures répétées, scansion parfois durassienne, épousant au plus près les tourments et la voix intérieure d’une femme perdue. La mise en scène de Jean-Louis Martinelli est dépouillée, réduite à l’essentiel nécessaire et suffisant : un rocking chair, deux panneaux qui suffisent à figurer l’enfermement, le corps de l’actrice, la nudité du texte, des ponctuations sobrement jazzy entre chaque séquence. Et puis la comédienne, Christine Citti, juste magnifique, entrant dans la peau d’Adèle, ce personnage blessé (et par incises, dans celle du mari manipulateur, puis de la femme de ménage qui incite à la révolte) avec toutes les fibres de son corps, toutes les inflexions de sa gestuelle, toutes les tessitures et tonalités de sa voix. Un rôle physique, mental, total, porté seule pendant une heure. Intense et vibrant. [...]
Serge Kaganski
http://blogs.lesinrocks.com/kaganski/2014/10/06/live/
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[...] Écrit par Fabienne Périneau, interprété par Christine Citti, le texte se révèle d'une vérité bouleversante et douloureuse. Comme si, délicatement mis en scène par Jean-Louis Martinelli, le souffle, le corps, le regard de la comédienne ne faisaient qu'un avec l'écriture et les mots.
Didier Méreuze, La Croix
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Dans Je ne serai plus jamais vieille, Fabienne Périneau s’attaque avec une belle intelligence, au harcèlement moral. Mais là nous ne sommes pas dans les clichés de la vie. Non, ici nous sommes chez les nantis, les intellos…
Pourquoi Adèle, femme brillante, intelligente, a-t-elle laissé son époux prendre une telle ascendance sur elle ?
Il l’a tellement mise à terre, l’homme de sa vie, qu’elle n’existe plus. Seule Luba sa femme de ménage, a compris le drame et va l’aider à se relever. Christine Citti donne chair à la fois à Adèle, cette femme brisée, et à Luba, la révoltée, la battante. Mise en scène par Jean-Louis Martinelli, la comédienne fait preuve d’une sensibilité prodigieuse pour incarner tous ces maux de la vie.
Marie-Céline Nivière, Pariscope
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[...] Christine Citti, seule sur un rocking chair, raconte lentement son enfer moral, intellectuel, sexuel face à un mari qui l’a peu à peu annexée. C’est terrible. C’est saisissant.
Fabienne Pascaud, Télérama
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« Avec ce jeu de l’actrice auquel on est très sensible, on sent toute l’urgence de porter cette parole de femme au plateau. » Fabienne Pascaud – Télérama
« Portée par la formidable comédienne Christine Citti, la mise en scène de Je ne serai plus jamais vieille sobre et centrée, signale l’urgence de jouer ce texte. » René Solis – Libération
France Culture, émission "La Dispute" du 1er septembre 2014
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« Cette pièce parle, tout comme le livre d'Eric Reinhardt, d’une femme qui souffre. Une femme victime de son couple, prisonnière en silence d’un pervers narcissique, et dont la vie est totalement conditionnée selon son bon vouloir. (…) A découvrir de toute urgence au théâtre des Mathurins » Jean-François Cadet- RFI
RFI, émission "Vous m'en direz des nouvelles" du 15 septembre 2014
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[...] Dans le cadre du dernier festival Le Paris des Femmes, Fabienne Périneau a eu l’idée d’écrire ce personnage de femme brisée, victime de harcèlement moral au sein de sa propre vie conjugale. Lors de sa représentation en janvier dernier, le public avait déjà été frappé, malgré le format court de 30 minutes, par la force du sujet (finalement rarement abordé sur scène) et l’exigence artistique du projet.
Sous cette impulsion, Fabienne Périneau accepte de développer ce personnage et cet univers pour composer alors ce que nous découvrons aujourd’hui aux Mathurins, dans une durée d’une heure et dix minutes environ. En tant que comédienne comme en tant qu’auteure, c’est le personnage qui importe à Fabienne Périneau. Ce qui explique peut-être ainsi combien celui d’Adèle est aussi creusé, ressenti, dans ce souci constant de l’incarnation et de la vérité.
La force de ce texte aussi n’est pas simplement de mettre en scène la souffrance de cette femme, mais d’évoquer les deux autres personnages proches d’Adèle : Guillaume, le mari pervers narcissique dont Adèle ne cesse de revivre les moments de violences verbales, physiques et psychologiques sans cesse infligées et Luba, la femme de ménage, ce personnage en apparence extérieur au drame et pourtant si proche, qui va aussi avoir son rôle à jouer. L’idée souterraine et singulièrement engagée ici est que dans ce drame humain, tout n’est pas forcément joué d’avance. Et de cette violence aiguë peut renaître l’espoir.
On comprend mieux alors comment des gens de qualité ont entouré le projet de Fabienne Périneau. Il s’agit de Jean-Louis Martinelli (l’ancien directeur du Théâtre des Amandiers à Nanterre) qui a délaissé ses habitudes des grands plateaux pour répondre à l’urgence du texte et réinvestir ce petit plateau des Mathurins, volontairement voulu resserré par le metteur en scène pour souligner un peu plus l’enfermement d’Adèle, cette femme architecte brillante qu’un homme, son propre mari, a voulu briser.
Dans ce vêtement rouge bien trop large, probablement acheté par le mari à sa femme pour mieux cacher son corps et l’annihiler un peu plus, à la façon de certains extrémistes religieux, Christine Citti déploie tout son talent de comédienne pour incarner ces trois personnages distincts, dans ce qui ressemble aussi à une sorte de monologue intérieur intense. [...]
Lætitia Heurteau
http://www.theatrorama.com/2014/09/serai-jamais-vieille/
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[...]Difficile de « critiquer » Je ne serai plus jamais vieille. Son propos (les femmes battues) et sa forme (didactique, Luba / Adèle se levant donc pour enjoindre ses semblables à sortir de leur enfer en cherchant le secours de la loi et des hommes, des vrais) n’appellent ni réserves ni commentaires. Fabienne Périneau fait le choix d’un texte brut et dur, Jean‑Louis Martinelli d’une mise en scène dépouillée et oppressante. L’ensemble repose sur la comédienne, Christine Citti. Elle est tour à tour cette femme perdue, repliée sur elle-même, voix voilée, et son prédateur, voix suave de séducteur pervers, avant de devenir cette sauvageonne qui redresse les épaules, fière, et incarne la Femme, dans toute sa puissance. C’est finalement Christine Citti qui « contrôle » cet exercice sur le fil, et emmène le spectateur sur sa route : les larmes qui tremblent dans les yeux de l’actrice, sous les projecteurs, n’appellent là encore ni réserves ni commentaires.
Corinne François-Denève
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[...] Un spectacle coup de poing, fort, violent, éprouvant, dont on ne sort pas indemne mais à voir absolument.
Un auteur, Fabienne Perineau, qui ose dévoiler ce qui se cache derrière les rideaux, la face noire qu'on occulte, ce sujet tabou qu'on évite alors qu'une femme meurt tous les trois jours dans l'indifférence sous les coups de son compagnon. Des mots qui heurtent, serrent le cœur, soulevant de terribles images, des mots qu'il faut absolument entendre car trop souvent tus.
Une femme, broyée, enfermée, violée moralement et physiquement, magistralement interprétée par une comédienne à découvrir absolument. Cristine Citti, extraordinaire, viscérale, une comédienne pour trois personnages qu'elle va faire vivre tour à tour sous nos yeux, l'épouse, le mari, la femme de ménage. [...]
La mise en scène sobre et resserrée de Jean-Louis Martinelli est toute entière concentrée sur le personnage et le texte. Dans un espace restreint cerné de murs, une femme se balance sur un rocking chair. Elle est vêtue d'une ample tunique rouge qui cache ses formes, comme ces femmes étrangères qu'une religion mal comprise (utilisée ?) oblige à se dissimuler derrière leurs vêtements. [...]
Un spectacle d'une puissance émotionnelle intense. À découvrir. Absolument.
Nicole Bourbon
http://www.regarts.org/Theatre/je-ne-serai-plus-jamais-vieille.htm
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[...] Seule sur la scène des Mathurins, la comédienne Christine Citti défend un texte fort, brutal, sans détour sur le harcèlement moral à l’intérieur du couple et la violence faite aux femmes. [...]
Mise en scène minimaliste (signée Jean-Louis Martinelli) pour donner encore plus de relief aux mots, à ce texte coup de poing sur un problème de société (encore) trop méconnu. Christine Citti, engagée à 100%, offre une prestation très convaincante dans l’exercice toujours périlleux du monologue, notamment dans les passages relatifs à la violence physique, à l’humiliation, à la souffrance du corps (passage du viol). Mais il ne faut pas réduire ce texte au seul désespoir. C’est aussi un très beau monologue sur la solidarité, l’amitié, les rencontres salvatrices, «Je voulais que ce texte soit autant une prise de conscience qu’un remerciement à la vie, aux autres rencontrés, qui vous donnent à nouveau la lumière » comme le souligne l’auteure Fabienne Périneau, lauréate du Festival Paris des Femmes 2014, pour lequel elle a écrit ce texte. Bref, ne jamais baisser les bras, on est bien d’accord là-dessus. Une très jolie pièce à découvrir cet automne. Allez-y.
Elizabeth Donetti
http://coup2theatre.wordpress.com/2014/10/01/je-ne-serai-plus-jamais-vieille-theatre-des-mathurins/
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[...] Un moment d'une grande intensité grâce aux extraordinaires qualités de jeu de Christine Citti qui utilise une large palette d'émotion pour nous faire le récit de cette vie qui ne sera pas brisée, de cette révolte.
La mise en scène de Jean-Louis Martinelli est épurée, oppressante, donne à penser l'état d'esprit dans lequel cette femme est enfermée, les murs qui se sont dressés autour d'elle, proches, réels ou imaginaires.
Un spectacle à voir parce qu'il dérange, parce qu'il porte la voix de toutes celles qui subissent en silence tant elles sont persuadées que personne ne croira en leur statut de victime. Parce qu'il démontre les mécanismes du harcèlement. Parce qu'il faut pouvoir les reconnaître autour de soi et en soi. Car à un degré ou un autre nul n'est entièrement à l'abri, ni dans son couple, ni dans son univers professionnels, tout aussi fort peut-on se croire.
Christine
http://le-theatre-cote-coeur.blogspot.fr/2014/09/je-ne-serai-plus-jamais-vieille.html
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Séquence émotion aux Mathurins. Dans Je ne serai plus jamais vieille, Christine Citti s’engouffre avec tact et délicatesse dans un sujet tabou, celui du harcèlement moral et du viol conjugal. La mise en scène sobre de Jean-Louis Martinelli désamorce tout pathos possible et pointe du doigt la perversité d’époux sadiques. Un moment théâtral nécessaire et percutant. [...]
La justesse et la sensibilité de la pièce de Fabienne Périneau s’inscrivent dans une écriture de l’intime et de la confession. Déversant sa frustration sur Luba, sa femme de ménage, Adèle se rend compte qu’elle est la seule à pouvoir entendre son récit poignant. Tâchant au départ de sauver les apparences, Adèle se laisse aller et craque le vernis des bienséances pour se livrer à une séance publique d’introspection choc. Le prédateur ne rôde plus au détour d’une rue mais perpétue impunément ses crimes dans un foyer douillet. Difficile de ne pas penser à Lust d’Elfriede Jelinek où Gerti subit incessamment la frénésie sexuelle de son mari. Les deux œuvres présentent une femme réifiée en produit consommable selon les humeurs de son propriétaire. Adèle aimerait s’émanciper mais la peur la ronge… Isolée et broyée par un monstre, elle reste toute la journée sur son rocking-chair à s’enfoncer dans son déni. Jusqu’à ce que Luba la pousse à refuser sa condition intolérable et lui insuffle la force de protester.
Seule sur scène, Christine Citti, tel un Joker, offre trois visages sidérants. Celui principal d’Adèle, craintive et attentionnée ; celui de Guillaume, odieux et insupportable et celui de Lupa, l’ange rebelle de la raison exhortant sa patronne à se reprendre en main. De tous les combats, l’actrice brûle les planches avec fougue et nuance. La litanie éprouvante des viols subis qu’elle déclame avec horreur et de façon mécanique glace les sangs et indigne. Jean-Louis Martinelli s’empare simplement mais dignement de ce texte dans une mise en scène épurée, laissant le soin à sa comédienne d’incarner viscéralement cette femme brisée. Un changement inattendu de costume suffit à changer de rôle aisément. Des noirs offrent un instant de répit salutaire dans cette performance éprouvante.
Ainsi, la chenille se transforme en papillon dans Je ne serai plus jamais vieille. Le fossé entre une épouse soumise et une femme indépendante peut sembler impossible à combler mais Adèle s’érige comme une figure de la progression et de la prise de conscience. Cette pièce captivante, portée par une actrice engagée et capable de mille métamorphoses, mérite absolument le détour. ♥ ♥ ♥ ♥
Thomas Ngohong
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Il est des barreaux plus solides que ceux des prisons. Et des prisons ouvertes plus efficaces que la meilleure des geôles. La torture psychologique d'un époux pervers narcissique sur sa femme est ici le thème central de la pièce.
Écrite par Fabienne Périneau et mise en scène par Jean-Louis Martinelli, cette pièce est autant un témoignage qu'un appel à relever la tête. Seule sur scène, Christine Citti offre une interprétation glaçante et poignante de la victime et de son bourreau.
Perchée sur son rocking chair, elle attend. Elle est en peignoir rouge sang, mais à l'intérieur d'elle-même, elle est exsangue. Son monde est gris. Le mal la ronge. Pantoufles, vodka et cheveux décoiffés la font vieillir avant l'âge. Elle n'a plus envie. Elle n'a plus de vie. Pourtant elle a un mari que tout le monde "adooooooore".[...]
Ce quotidien est celui de millions de femmes dans le monde. Ici, le monologue donne la parole au bourreau (Guillaume, le mari), à la victime (Adèle, l'épouse) et à au témoin (Luba, la femme de ménage). Le texte murmure, gueule, devient venin, hésite, encourage. À la barre, Christine Citti offre avec une implication sincère une palette d'émotions et de voix : tour à tour dure, mielleuse, apeurée, déterminée, hystérique. Son rire atroce d'épouse perdue glace le sang.
Malgré son thème, Je ne serai plus jamais vieille ne tombe pas dans le piège du pathos. On n'est pas aux Mathurins pour faire pleurer les chaumières version téléréalité obscène ; on est ici pour dénoncer la mécanique insidieuse de la destruction psychologique d'un être sur un autre, de la construction d'une emprise et d'une prison dont les barreaux sont d'autant plus forts qu'ils s'installent dans la tête de la victime.
Auteur de ces lignes, Fabienne Périneau a dressé ces portraits à partir de témoignages réels, sans pour autant vouloir en faire un documentaire, effectuant ainsi un véritable travail d'écriture. Les phrases entrecoupées, les bouts de mots tronchés, la volonté ramollie et usée comme une savate, elle a mis les paroles dessus. [...]
Mais on vous l'a dit, on n'est pas là pour se complaindre. Tout est dans le titre au futur simple et déterminé : Je ne serai plus jamais vieille. Pas question de verser dans le conditionnel. On va relever la tête et assister à la renaissance d'une femme. L'épouse traquée va se grandir au sens propre comme au figuré. On ne promet pas la facilité, surtout dans le cas d'un mari bien sous tous rapports aux yeux de sa sphère sociale. Mais on va reconstruire à nouveau. Avant cela, il faut franchir la porte et casser les murs.
Marie-Pierre Créon
http://www.ruedutheatre.eu/article/2790/je-ne-serai-plus-jamais-vieille/
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Seule sur scène, Christine Citti donne vie au texte de Fabienne Périneau, avec la force d’une femme blessée en reconquête de son indépendance. Fragile, fort, tragique. Un cri et un appel : les femmes harcelées ne doivent plus jamais l’être. Je ne serai plus jamais vieille, confesse l’héroïne : de la jeunesse, il faut alors garder l’insoumission et la révolte. [...]
Pendant plus d’une heure, Christine Citti livre une performance de comédienne remarquable. Le regard tantôt vide, tantôt haineux, tantôt rempli de peurs, elle incarne avec une force fascinante l’absence de dignité, ou plutôt la dignité dérobée, elle habite avec une sincérité émouvante la femme écrasée.
Le texte de Fabienne Périneau, qu’elle porte à merveille, alterne la simplicité des mots crus et évidents et la réflexion sur une situation insupportable. Basculant intelligemment du dialogue au souvenir parlé, du stream of consciousness à la confession, le style de Fabienne Périneau n’est jamais ni trop intellectualisant ni trop vulgarisé. Et la mise en scène de Jean-Louis Martinelli, sobre et épurée, presque aussi dévastée et vide que l’âme de la femme victime, sait rendre à la comédienne toute la lumière : parfaitement dirigée par Martinelli, Christine Citti suspend ses phrases, modifie subitement son expression, adapte son corps au gré de la violence des mots qu’elle débite…
Un moment de connivence avec un témoignage poignant, comme un instant d’intimité, Je ne serai plus jamais vieille appelle d’abord la compassion, puis la colère pour finir en rage d’espoir ! Il y a des choses qui doivent cesser. Si elles ne cessent d’exister, il faut les combattre en se retrouvant, soi et sa dignité.
Rick Panegy
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Monologue de plus d’une heure, interprété par la comédienne Christine Citti, on ne peut que saluer sa performance tant sur le plan quantitatif que qualitatif. Mise en scène minimaliste où sur les planches ne trônent qu’un rocking-chair en bois et le talent de l’actrice. Tantôt femme battue, femme de ménage et homme dominant, les voix se font violentes, tristes ou apeurées. La pièce écrite en 2014, raconte comment le harcèlement moral au sein d’un couple marié peut détruire sans que quiconque ne s’en aperçoivent: Adèle et Guillaume, la petite quarantaine, architectes de métiers, tous les deux capables de cacher, d’occulter la vérité aux autres comme à eux-mêmes. Une simplicité des mots, des jeux de constructions de phrases, une occupation de la scène réduite et pourtant le cœur est là. Le spectateur entre empathie pour la femme laissée seule et dégout pour l’homme abusif se laisse prendre au jeu et finit par croire en une fin meilleure. Puissance des mots et du sexe, Adèle se laisse faire puisque « Guillaume l’aime – On ne peut rien contre l’amour » dit-elle. Vieille, la voici presque morte, agonisante. Elle renait sous cette écriture parfaitement calibrée de Fabienne Périneau.
Laurent Atlan
http://www.lacritiquerie.com/theatre-je-ne-serais-plus-jamais-vieille-de-fabienne-perineau/